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Le Château du Reichenberg, patrimoine
familial depuis 1920

Le Château du Reichenberg, patrimoine familial depuis 1920
De générations en générations

Le château de Reichenberg, est entré dans la famille Cognacq en 1920, par amour de l’Alsace et des vieilles pierres. Les vignes, plantées en 1969, ont permis à la famille de conserver ce patrimoine. Le vignoble fait aujourd’hui 7 hectares. Il est exploité avec passion par Martin Cognacq, qui habite au château avec son épouse Evelyne.

L’arrivée de la famille Cognacq en 1920

La renaissance
du château

En 1920, Edmond Bapst, ambassadeur de France, achète le château à un membre de la famille de Pange qui s’y était installé à la fin de la première guerre mondiale.
Son amour de l’Alsace et son goût très vif pour la langue et la culture germanique expliquent sa décision de venir habiter au château du Reichenberg avec sa fille Nicole, après son départ à la retraite.

Edmond Bapst construit, avec son architecte Riegert, deux escaliers d’entrée, installe l’eau courante à tous les étages ainsi que le chauffage central. On dit qu’en hiver il avait une personne chargée d’alimenter la chaudière qui brûlait 1 tonne de charbon par jour !

Des vignes pour
sauver le château

En 1969, le fils de Nicole Bapst, Patrick Cognacq et son épouse Jeanne Garrone décident d’en faire leur résidence principale et s’y établissent avec leur famille. Étant respectivement architecte départemental du Haut-Rhin et décoratrice, ils se consacrent tous deux avec énergie au maintien de cette propriété chargée d’histoire qu’ils font notamment inscrire à l’inventaire supplémentaire des sites. Ils y plantent des vignes pour assurer un revenu annuel et entretenir les toits du château.

Le Reichenberg
pendant la guerre

Pendant la deuxième guerre mondiale, Nicole, fille de Edmond Bast, épouse Philippe Cognacq, un officier pilote de l’armée de l’air. Elle est cependant contrainte de quitter le Reichenberg car, comme toute l’Alsace, la propriété subit les rigueurs de l’occupation nazie. Le château fut transformé en centre de vacances pour les jeunesses hitlériennes.

A la libération, le Reichenberg était en piteux état et l’essentiel du mobilier avait disparu. Un obus américain avait détruit la petite maison annexe et un autre avait sérieusement endommagé la toiture d’entre les deux tours principales du château. Ce fut à Nicole Bapst d’assumer la lourde charge de remettre en état le Reichenberg, victime de la guerre une fois encore. 

Le Reichenberg redevient une résidence d’été à partir de 1945.

Le Reichenberg
pendant la guerre

Pendant la deuxième guerre mondiale, Nicole, fille de Edmond Bast, épouse Philippe Cognacq, un officier pilote de l’armée de l’air. Elle est cependant contrainte de quitter le Reichenberg car, comme toute l’Alsace, la propriété subit les rigueurs de l’occupation nazie. Le château fut transformé en centre de vacances pour les jeunesses hitlériennes.

A la libération, le Reichenberg était en piteux état et l’essentiel du mobilier avait disparu. Un obus américain avait détruit la petite maison annexe et un autre avait sérieusement endommagé la toiture d’entre les deux tours principales du château. Ce fut à Nicole Bapst d’assumer la lourde charge de remettre en état le Reichenberg, victime de la guerre une fois encore. 

Le Reichenberg redevient une résidence d’été à partir de 1945.

Des vignes pour
sauver le château

En 1969, le fils de Nicole Bapst, Patrick Cognacq et son épouse Jeanne Garrone décident d’en faire leur résidence principale et s’y établissent avec leur famille. Étant respectivement architecte départemental du Haut-Rhin et décoratrice, ils se consacrent tous deux avec énergie au maintien de cette propriété chargée d’histoire qu’ils font notamment inscrire à l’inventaire supplémentaire des sites. Ils y plantent des vignes pour assurer un revenu annuel et entretenir les toits du château.

Martin Cognacq
réalise son rêve
en devenant  
vigneron
à 50 ans

Avant d’être l’artisan du domaine du Reichenberg, Martin Cognacq a eu plusieurs vies.

Son enfance au château lui donne envie de suivre les traces de son père alors viticulteur. Il entreprend un BTS spécialisé dans la transformation et la distribution des produits agroalimentaires option « fleurs et fruits » au lycée agricole de Rouffach.

La vie l’éloigne ensuite de la vigne et l’emmène à Taïwan, où il y passe 2 ans de service militaire. A son retour, il démarre une carrière dans l’informatique.

Les années passent et il gravite autour du monde du vin, notamment à l’Association des viticulteurs d’Alsace où il a été chargé d’informatiser tout le système d’agrément. Il y rencontre Evelyne Bléger, celle qui va devenir sa femme.

Tous deux, tour à tour Majors de la Confrérie Saint Etienne d’Alsace en 2009 et 2010, rapatrient les précieux flacons, véritable mémoire historique des vins d’Alsace, dans l’œnothèque de Kientzheim.

crédit photo S. Kauffer

Les premiers vins
sous l’enseigne
Château du Reichenberg

En 2015, il décide de réaliser son rêve en reprenant la voie de son père, fortement poussé par Evelyne, elle-même œnologue à la Cave de Ribeauvillé, plus ancienne cave vinicole de France.

Incessant travailleur, il reconstitue un vignoble qualitatif et élabore les premiers vins sous l’enseigne Château du Reichenberg.

Devenir vigneron à 50 ans a le goût du challenge, mais l’investissement sert surtout une passion authentique pour le vin.

En couple à la vie comme à la vigne, Evelyne et Martin Cognacq sont complémentaires. “Nous mettons nos forces en commun. Chacun apporte ses compétences et sa sensibilité”.

Et toujours sous l’œil protecteur de Jeep et Ipsy, les chiens du domaine !

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